
Conclusion
Nous avons maintenant toutes les mesures nécessaires pour répondre à la problématique. Nous avons résumé les résultats dans le tableau ci-dessous :

A l'aide de ce tableau, nous pouvons dire que :
- Le four à micro-ondes a chauffé l'eau 5 fois plus rapidement et en utilisant 3 fois moins d'énergie que le réchaud à gaz.
- La plaque à induction a chauffé l'eau presque 4 fois plus rapidement, et en utilisant 60 % moins d'énergie que le réchaud à gaz.
Nous pouvons donc comparer indirectement le four à micro-ondes et la plaque à induction.
Si l'on considère que le réchaud à gaz a chauffé pendant une durée de 100 %, et a utilisé 100 % d'énergie, on peut dire que :
- Le four à micro-ondes a chauffé pendant 20 % du temps du réchaud, et a utilisé 36 % d'énergie.
- La plaque à induction a chauffé pendant 26 % du temps, et a utilisé 63 % d'énergie.
Nous avons résumé cela dans un tableau :

Nous pouvons donc maintenant comparer le four à micro-ondes et la plaque à induction. Le four à micro-ondes met donc 30 % de temps de moins pour chauffer l'eau, et utilise
75 % d'énergie en moins. Nous pouvons désormais réaliser un classement des appareils de cuisson :
Temps de cuisson :
- 1er : Four à micro-ondes (100 %)
- 2ème : Plaque à induction (130 %)
- 3ème : Réchaud à gaz (500 %)
Energie utilisée :
- 1er : Four à micro-ondes (100 %)
- 2ème : Plaque à induction (175 %)
- 3ème : Réchaud à gaz (275 %)
Petite disgression :
Cependant, les prix de l'électricité et du gaz peuvent être différents, nous allons donc calculer combien chaque cuisson nous a coûté.
En moyenne, 1 kg de butane coûte 2,30 €, et un kWh vaut environ 0,15 € chez EDF. La cuisson au four à micro-ondes nous a donc coûté 0,003 €, tandis que celle au gaz nous a coûté 0,0092 € dans un bécher, et 0,00851 € dans la casserole. La cuisson a la plaque à induction a coûté 0,0048 €. Nous pouvons donc voir que la cuisson au gaz est trois fois plus chère que celle au four à micro-ondes, et deux fois plus chère que celle à la plaque à induction.
I. Fonctionnement des objets
III. Conclusion